Servi, une fois de plus, par une prise de son chaude
et aérée ce disque d’Hammond se déguste avec avidité. Au menu une demi
douzaine de reprises variées dominées par la couleur de l’orgue
Hammond.
L’album démarre très fort avec « Rock Steady » d’Aretha Franklin. Excellente composition soul jazz dotée d’une rythmique funky (probablement Melvin Sparks à la guitare). Bernard Purdie fait une apparition remarquée avant de passer les baguettes à Billy Cobham sur les autres titres. Grover Washington Jr avec sa sonorité superbe délivre un solo de saxophone ténor envoutant.
Quelques notes de piano électrique sur des arrangements de Bob James (très belles sonorités des cordes). C’est « Who is Sylvia ? » tiré de la comedie musicale: Two Gentlemen of Verona, Ron Carter y est impérial.
Cuivres à l’honneur, final grandiose sur « Peace Train » une compo de Cat Stevens, surprenante, avec Harold Vick au saxophone ténor.
Face: B c’est Benson qui brille sur « I don’t know how to love him » tiré de l’opréra rock: Jesus Christ superstar, suivi d’une belle musique d’Armando Manzareno « it’s impossible » avec, une fois de plus, les sonorités sublimes de Grover et Hammond au saxophone et à l’orgue.
Festival Cobham sur « Wild Horses » des Roling stones pour cloturer l’album.
L’album démarre très fort avec « Rock Steady » d’Aretha Franklin. Excellente composition soul jazz dotée d’une rythmique funky (probablement Melvin Sparks à la guitare). Bernard Purdie fait une apparition remarquée avant de passer les baguettes à Billy Cobham sur les autres titres. Grover Washington Jr avec sa sonorité superbe délivre un solo de saxophone ténor envoutant.
Quelques notes de piano électrique sur des arrangements de Bob James (très belles sonorités des cordes). C’est « Who is Sylvia ? » tiré de la comedie musicale: Two Gentlemen of Verona, Ron Carter y est impérial.
Cuivres à l’honneur, final grandiose sur « Peace Train » une compo de Cat Stevens, surprenante, avec Harold Vick au saxophone ténor.
Face: B c’est Benson qui brille sur « I don’t know how to love him » tiré de l’opréra rock: Jesus Christ superstar, suivi d’une belle musique d’Armando Manzareno « it’s impossible » avec, une fois de plus, les sonorités sublimes de Grover et Hammond au saxophone et à l’orgue.
Festival Cobham sur « Wild Horses » des Roling stones pour cloturer l’album.
Bien sur devant une si belle réussite, un tel « savoir faire » on peut regretter l’absence de compositions originales. C’était un peu le concept du label à l’époque: ouvrir le jazz funk à un large public à travers un répertoire plus familier.
♫ ♫ ♫ ♫ ♫
Note: MASTERWORKS JAZZ vient de rééditer cet album.
FACE: A
1. Rock Steady 6:55
(Aretha Franklin)
2. Who is Silvia 7:27 de Two gentlemen of Verona
(Galt MacDermot)
3. Peace Train 4:28 (Cat Stevens)
FACE: B
1. I don’t now how to love him 7:30
(Tim Rice-Andrew Lloyd Webber)
2. It’s impossible 5:25
(Manzareno-Wayne)
3. Wild Horses 6:20
(Jagger-Richards)
Enregistré au studio Van Gelder en novembre 1971
Ingénieur du son: Rudy Van Gelder
Photos: William Cadge
Design: Bob Ciano
Producteur: Creed Taylor
Arrangé et dirigé par: Bob James
Orgue/Piano élèctrique: Johnny Hammond
Basse: Ron Carter
Batterie: Bernard Purdie A1, Billy Cobham
Percussions: Airto, OmarClay
Saxophone alto et ténor: Harold Vick, Grover Washington Jr
Guitare: George Benson, Eric Gale, Bob Mann, Melvin Sparks
Saxophone bariton: Pepper Adams
Trombone: Wayne André
Trompette: Al DeRisi, Snooky Young
Violons: Julius Brand, Paul Gershman, Emanuel Green, Julius Held, Harry Katzman, Joe Malin, Gene Orloff, Max Pollifoff
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